Toutes les régions de la province méritent qu’on y célèbre ce qu’on qualifiait jadis d’alternatif, soit les musiques qui brassent et qui osent, mais qui ne figurent que trop rarement sur les médias et plateformes traditionnelles. Pas seulement l’Abitibi-Témiscamingue (FME, depuis 2003), Charlevoix (Le Festif!, depuis 2010) et le Haut-Saguenay (La Noce, depuis 2017), hein?