Passenger

Critique album | Passenger – Whispers

Passenger - Whispers Passenger Whispers

Mike Rosenberg, alias Passenger lançait son quatrième album solo, Whispers, le 10 juin dernier. Découvert par le grand public en 2012 avec la pièce Let Her Go, l’auteur-compositeur-interprète anglais ne sort décidément pas de sa zone de confort et propose 11 pièces très similaires à celles du précédent opus.

Bien connu pour sa ballade Let Her Go, on en retrouve aisément l’équivalent sur ce nouvel album avec Heart’s On Fire, une belle pièce qui, avec Golden Leaves crée un passage plus dramatique au travers de l’univers assurément joyeux et nostalgique du chanteur britannique.

De cet univers heureux ressortent Coins in a Fountain et Thunder, qui tentent par des métaphores où l’amour et la nature se mêlent, de montrer le beau côté des choses.

C’est sur la pièce titre de l’album Whispers que le chanteur folk démontre toute l’étendue de son talent. On y pardonne la redondance des mélodies, au profit des paroles qui racontent de jolies histoires.

Alors que le précédent album se terminait sur une chanson montrant la haine du jeune chanteur pour les téléréalités à la America’s Got Talent, cette fois-ci la pièce finale, Scare Away the Dark démontre un inconfort face aux réseaux sociaux.

Au final, c’est un album qui s’écoute bien, ne serait-ce que par son unité certaine qui berce d’une pièce à l’autre. Sans surprise certes, mais rempli de petits moments charmants.

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