Plus grande scène multifonctionnelle au Canada, la Salle Wilfrid-Pelletier est également la principale salle de la Place des Arts de Montréal. Elle est dotée de tout près de 3000 sièges et accueille tout genre de spectacle, allant de la danse au concert symphonique.
D’ailleurs, l’Orchestre symphonique de Montréal, les Grands Ballets Canadiens de Montréal ainsi que l’Opéra de Montréal y trouve leur résidence.
L’heure mauve, une commande du musée des Beaux-arts de Montréal qui devait accompagner en musique l’exposition des œuvres de Nicolas Party est une œuvre en soit. Bien qu’il fût prévu initialement que cette musique et ses interprétations soient seulement disponibles par le biais d’une visite au musée, quelqu’un a eu l’idée génialissime d’en faire un album. Saluons donc l’audace du MBAM et l’idée des francofolies de Montréal de donner toute la place à ce projet artistique qui, par ailleurs, est à l’affiche au MBAM jusqu’au 16 octobre.
Le groupe islandais Sigur Rós était de passage à la Place des arts vendredi soir. Notre photographe Cassandra Lacroix s’y trouvait. Retour en photos sur une soirée visuellement aussi saisissante que la musique hypnotique du groupe !
Le spectacle Histoires sans paroles – Harmonium symphonique prendra la forme d’une trilogie montréalaise lors de trois expériences de spectacles aussi uniques que distinctives dans trois lieux différents à l’automne 2022 et l’hiver 2023.
Quatre hommes debout devant des pupitres font de la musique électronique. C’est la proposition que nous offrait le groupe électronique emblématique Kraftwerk mercredi soir, dans une Salle Wilfrid-Pelletier bien pleine.
Le Grand Prix du Canada sera de retour du 17 au 19 juin 2022. Tout au long du week-end, des milliers de touristes de partout dans le monde débarqueront à Montréal dans le but de voir les bolides les plus performants au monde rouler à vive allure au Circuit Gilles-Villeneuve. Mais la question qui revient à chaque week-end du Grand Prix à Montréal, c’est : qu’est-ce qu’y’a d’autre à faire à Montréal ? Voici quelques suggestions de spectacles à aller voir pendant votre visite !
Mercredi dernier avait lieu la première représentation de La belle au bois dormant des Grands Ballets. Œuvre magnifiquement orchestré par la chorégraphe Marcia Haydée qui s’est appuyé sur la version originale de Marius Petipa, en gardant l’essentiel du ballet classique du XIXe siècle. L’histoire reste sensiblement la même que nous connaissons grâce au conte de Disney. Il y a évidemment quelques petites différences, dont le nombre de fées qui viennent offrir leur présent à la nouvelle princesse Aurore. De plus, cette majesté ne se piquera pas le doigt sur un fuseau cette fois-ci, mais plutôt sur une aiguille cachée dans un bouquet de roses. Pour les intéressés, le synopsis complet est disponible sur le site officiel des Grands Ballets.
Le Festival International de Jazz de Montréal avait déjà dévoilé plusieurs détails de son époustouflante édition 2022, qui se produira du 30 juin au 9 juillet. Mais voilà qu’on en rajoute une couche, avec l’annonce d’une alléchante série de concerts gratuits au Club Montréal TD (sur l’Esplanade de la Place des Arts) et au Studio TD (anciennement l’Astral), ainsi que quelques ajouts sur la grosse scène extérieure de la Place des Festivals, et un concert de Hubert Lenoir dans une toute petite salle !
À l’aube de la cinquantaine, Rufus s’est présenté à un public montréalais déjà conquis. Il faut dire, cette tournée Unfollow the Rules dont l’album est sorti en 2020 (en pleine pandémie) s’était faite attendre. Pendant cette période houleuse, l’artiste n’a pas chômé. Il nous raconte pendant le spectacle qu’il s’est « amusé » à illustrer (littéralement), papier-crayon, chacune des chansons de son nouvel opus. C’est donc avec en toile de fond des plans rapprochés de ses esquisses très détaillées que les chansons nous sont présentées. Toujours plus de talents !
Après exactement deux ans de reports incessants, l’Opéra de Montréal présente enfin sa Flûte enchantée de Wolfgang Amadeus Mozart dans une production allemande déjà exportée un peu partout dans le monde, et avec raison. Loin des plateaux traditionnels, la scénographie de Barrie Kosky et du collectif 1927 (Suzanne Andrade et Paul Barrit) nous transporte tout droit dans les belles années du cinéma impressionniste allemand et des films muets.
Mais voilà que depuis ce matin, la programmation intérieure est complète, et en zieutant l’horaire, on constate qu’on risque d’être plutôt occupés du 10 au 18 juin 2022 !