Le Théâtre Fairmount est une salle de spectacle située en plein coeur du Mile-End qui présente entre autre des spectacles d’électro et de rock alternatif.
La salle était précédemment connue comme le Cabaret du Mile-End, qui fonctionnait sous forme de coopérative de solidarité, fort de la volonté des résidents du quartier de soutenir la vie culturelle de la communauté. C’est le 1er mars 2015 que le Théâtre Fairmount remplace le Cabaret.
Depuis plus de 30 ans, le Cabaret du Mile-End a accueilli des milliers d’artistes en ses lieux, sous ses différentes incarnations. D’octobre 1983 à juillet 1999, la salle portait le nom de Club Soda. En 2000, les fondateurs du Club Soda installaient leurs pénates à l’emplacement actuel de la salle de ce nom, sur le boulevard St-Laurent. La même année, la Coopérative de solidarité Le Cabaret du Mile End était créé afin de permettre la réouverture du mythique lieu de l’Avenue du Parc après six mois d’inactivité, sous la gouverne d’un regroupement de gens du milieu. Le lieu a également brièvement opéré sous le nom de Kola Note.
Avec plus de 100 artistes locaux et internationaux répartis dans plusieurs salles de la métropole, M pour Montréal est chaque année LE rendez-vous de l’industrie et des fans de musique. Vitrine exceptionnelle, l’évènement programme chaque automne de nombreux artistes émergents au potentiel certain et pour sa 13e édition, M pour Montréal ne déroge pas à la règle. À cette occasion, Victor Perrin se mue en dénicheur de talents pour les délégués internationaux en proposant une palette de cinq artistes locaux à découvrir sur scène lors du festival.
À la fin du mois de février 2019, Alexandre Barretteprésente Semi-croquant, son troisième spectacle solo. Après l’exceptionnel succès du précédent, Imparfait, salué par la critique et le public très nombreux (100 000 billets), Barrette est d’attaque pour raconter et se raconter à nouveau. Son titre, Semi-croquant, reflète bien la dualité de l’homme et de l’artiste. À la fois baveux, mais civilisé, osé sans être vulgaire, irrévérencieux, mais sympathique, arrogant, mais d’une grande sensibilité, Alexandre a écrit des numéros qui traduisent bien ce paradoxe.
Le mélange électro-pop/R&B romantique et plein de groove du duo britannique Honne, accueilli à guichet fermée, a su ravir une fois de plus le public montréalais. Celui-ci, loin de cacher son enthousiasme, s’est vu présenter l’ensemble des morceaux du plus récent album du groupe, Love Me/Love Me Not, paru en août dernier.
Si les punks et les métalleux attendent avec impatience la fin du mois pour se griller la couenne devant leurs groupes favoris durant Heavy Montréal et 77, juillet ne manque pas d’occasions pour tous de sortir.
Malgré son extinction de voix éprouvante, il a tout de même tenu à donner un spectacle marquant : la soirée s’est terminée en karaoké avec des volontaires invités sur scène pour le remplacer au chant.
Dès les premières notes de Total Football, un énorme mosh pit mouvementé a pris forme au milieu du Théâtre Fairmount, s’étendant du rebord de la scène jusqu’au fond de la salle. Parquet Court a décidé d’ouvrir son spectacle avec la même pièce qui ouvre son dernier album Wide Awake, paru plus tôt ce mois-ci. Il était déjà clair que le public était plus prêt que jamais à accueillir les chansons du nouveau disque.
C’est une Kate Nash généreuse et énergique qui a pris d’assaut la salle intime du Théâtre Fairmount pour offrir un spectacle mémorable. Si elle s’est permise quelques pièces au piano, à la guitare acoustique ou à la basse, c’est armée seulement de son micro qu’elle a passé la majeure partie de son spectacle, accompagnée de trois musiciennes.
Le chanteur et compositeur anglais Banners s’arrêtait au Théâtre Fairmount samedi soir, dans le cadre de sa tournée nord-américaine. Le musicien est reconnu pour ses chansons captivantes et porteuses d’espoir.
L’image a changé, mais le principe reste le même : l’identité secrète des membres rend l’expérience bien plus excitante (c’est possible d’avoir des réponses en ligne, mais ça casse le party). Une autre chose qui n’a pas changé : l’excellente musique cauchemardesque se transposait parfaitement en spectacle.